Rien que ça. Il y a bien sûr la Thaïlande du tourisme de masse et les îles paradisiaques où les fêtards se retrouvent, c’est bien mais juste pour faire une pause pour le cyclovoyageur que je suis.
Il y a aussi la Thaïlande où l’on trouve des petits restaurants partout ou au pire des 7-eleven si bien qu’il n’est pas nécessaire de transporter sa nourriture, où l’on trouve partout des temples bouddhistes offrant l’hospitalité pour une nuit, par terre mais en sécurité et à l’abri des intempéries, ou mieux des guesthouses si on en a les moyens, où les usagers de la route sont très respectueux et où les routes ont presque toujours une voie de fait réservée aux deux-roues. De tous les pays visités pour le moment, c’est le plus sympa à sillonner au guidon d’un vélo. Une traversée nord-sud à vélo en deux mois, avec peu de matériel, de Chiang Mai à Phuket en saison sèche constituerait un superbe voyage à la portée de n’importe qui en bonne santé.
Je vous propose de lire mon récit de ma traversée du pays, du Cambodge à la Malaisie :
J’écrirai un billet très bientôt pour parler de la suite du voyage. Singapour n’est plus qu’à 800 km mais ce n’est que la fin de la partie eurasienne du voyage…